je ne vous oublie pas

mais la vie à la Fin des Ours se déroule tranquillement ...

du coup sieste, sieste et sieste...

et doigts de pieds en éventail !

Allez je vous prépare quelques articles de derrière les fagots

Je ne vous oublie pas mais...

en relisant l'article d'hier

ça m'a rappelé une blague...

Pardon d'avance...

Il y a très longtemps toutes les créatures terrestres vivaient au paradis

Les chiens aussi bien sur

Ils avaient d'ailleurs à cette époque la parole

un jour, Dieu les rassemble pour s'assurer qu'ils étaient heureux

Pendant cette assemblée, l'un eux laisse échapper un énorme pet

Dieu s'en offusque et demande au coupable de l'outrage divin de se dénoncer immédiatement

Pas de réponse...

Dieu entre alors dans une colère folle

Il banni les chiens du paradis et leur ôte la parole...

C'est pourquoi,

depuis chaque fois que deux chiens se rencontrent,

ils se sentent le cul pour retrouver le coupable...

Ouai je sais...

Pardon, pardon, pardon

J'ai du rester trop longtemps au soleil...

Vous savez quoi ?
C'est les vacances dans le Poulailler et comme il fait beau
Qu'il fait chaud
Et Ben je vais pas rester tout l'été derrière mon clavier mais plutôt vous envoyer des cartes postales par ci par la...
De toute façon vous aussi vous avez mieux à faire
Allez zou tous a la plage !
La Poule retourne jouer les Mémères-à-ses-cha-chats

Le Nouveau Visiteur a encore frappé

et laissé quelques mots dans ma boite

Je vous les livre

"race affective. Le coq me câline assez"

Il me demande de lui imposer parfois un thème...

Faut que je réfléchisse...

Cela semble être le fil conducteur de la semaine

Je voulais partager avec vous les quelques mots laissés dans ma boite mail

par un Nouveau Visiteur du Poulailler virtuel

Je met des majuscules à Nouveau et à Visiteur parce

que nous nous connaissons dans la vrai vie

et qu'il ne souhaite pas que l'on sache qu'il en est l'auteur

J'avais bien pensé le nommer l'Écrivain Masqué, ou la Plume Inspirée

mais j'ai eu peur que cela ne lui plaise pas...

En tout cas, ils m'ont beaucoup touché ces quelques mots

et j'aimerai bien en recevoir d'autres...

Poulailler : paradis. Béni soit qui mâle y panse. 

Déforestation : un seul hêtre vous manque et tout est dépeuplé. 

Exécution :  quand le dicton suggère " partir c est mourir un peu " c est parce que larme est en joue.  

Retour. Nicoletta. Fermez la fenêtre et laissez les volets clots .... A quoi bon se lever. 

Comment la poule veille t elle au grain quand elle a du mal a se passer du coq à l âme ?

Fais toi bien grande et bien sage...

une blonde avec une pomme sur la tête ?

Une tarte aux pommes !

Hihihi

je sais, il m'en faut pas beaucoup...

Et sinon, il parait que c'est l'été aujourd'hui...

mouai,

j'ai des doutes...

J'ai nommé : l'Ado !!!

Samedi

nous étions au grand complet assis juste derrière elle

quand son nom a été appelé

Elle a rougi,

un peu

sa voix était à peine audible

quand elle a remercié

Ses mains ont tremblé

quand on lui a demandé de lire son poème

Elle n'a pas osé refusé

elle m'a dit après qu'elle ne l'avait même pas envisagé

Et hésitante,

très hésitante,

elle a lu ses vers

Mr Coq a gonflé le torse : "c'est MA fille"

Poussin a écouté attentivement

et toi, la Poule?

Ben j'ai remis mes lunettes de soleil pour qu'elle ne voit pas l'eau dans mes yeux

Elle m'a autorisé à publier ici ses mots

je vous les livre le coeur gonflé de fierté 

Je voudrais un rêve

Je voudrais réduire le champ des possibles,

Combler cette feuille blanche qui me laisse perplexe.

Briser ces lignes mauves,

Briser ces lignes azurées,

Tels les barreaux d’une prison,

Telles des barrières invisibles que l’on n’ose franchir.

Je voudrais écrire sur un ciel bleu,

Oublier les nuages qui surplombent nos rêves,

Enveloppent nos désirs de leurs écharpes blanches.

Je voudrais qu’aujourd’hui,

On ait le droit d’être soi,

S’affranchir des limites,

Bannir les préjugés.

Avoir le droit d’apprécier,

Ou d’être seulement,

Quelqu’un de différent.

Je voudrais qu’on relève la tête dans les rues,

Qu’on fasse pousser de l’herbe,

Au seuil de nos pieds nus.

Me promener sous la pluie, respirer son odeur,

Prendre racines dans les livres, sans vivre à l’intérieur.

Je voudrais qu’on profite, du temps qui nous est donné,

Vivre au jour le jour, et s’y abandonner.

Penser par soi-même,

Est-ce si difficile ?

Je voudrais qu’on se regarde un peu dans un miroir,

Est-ce vraiment notre reflet ?

Ou celui de la société ?

Je voudrais qu’on ne se suive pas les uns les autres,

Qu’on trouve la clé de nos chaines au fond de nos cœurs rouillés.

Je voudrais connaitre vraiment les personnes que j’aime,

Oublier les paroles qui blessent.

Je voudrais, je veux…

Mais que voulez-vous ?

Juste vous ?

 Bravo ma Poulette

À pris l'eau !
C'est le drame de ma vie
Un petit grain de sable et mes plans tombent à l'eau
Peut être que je planifie trop, ou pas assez
Parce que je suis trop rigide ou trop souple...
Parce que je n'anticipe jamais assez et que je proscanise toujours trop.

Bref hier, une réunion sur l'avenir de notre commune, certes très intéressante, m'a retenue loin de mon clavier

J'envie les gens hyperactifs et hyperorganisés...

Et vous dans quel camps êtes vous ?