Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
La vraie vie du Poulailler...
lecture
22 juillet 2012

Ne pas déranger

On est occupé! Tout le we!

Publicité
Publicité
19 juillet 2012

très déçevant

oui oui oui, je suis déçue déçue déçue!

Il y a quelques mois je m'etais enflammée pour les histoires d'ado juste pubères qui croyaient dans la magie d'un jeans

IMG_4360

j'avais trouvé ça GENIAL! souvenez vous

Mais ça, c'était avant...

Le Tome 4,

Poulette me l'avait bien sur recommandé

mais un peu poins chaudement que les autres... j'aurai du flairer l'anarque

photo 1

Elles ont grandies, mais... c'est tout!

il ne se passe rien de chez rien...

je suis lamentablement ennuyée!

photo 2

Après concertation avec Poulette, sur ce nouvel opus pourtant tant attendu, "effectivement il n'est pas terrible, terrible..." a-t-elle dit...

pff elle aurai pu prévenir...

Surtout passez votre chemin, aucun intérêt!

6 juillet 2012

Corps

IMG_5401

A y est, je l'ai fini!!!

Très très bien, bien sur, je n'ai pas été déçu!

La 4ème de couv' : "13 ans, 1 mois, 8 jours. Mercredi 18 novembre 1936. Je veux écrire le journal de mon corps parce que tout le monde parle d'autre chose. 50 ans et 3 mois. Jeudi 10 janvier 1974. Si je devais rendre ce journal public, je le destinerais d'abord aux femmes. En retour, j'aimerais lire le journal qu'une femme aurait tenu de son corps. Histoire de lever un coin de mystère. En quoi consiste le mystère? En ceci par exemple qu'un homme ignore tout de ce que ressent une femme quand au volume et au poids de ses seins, et que les femmes ne savent rien de ce que ressentent les hommes quand à l'encombrement de leur sexe. 86 ans, 9 mois, 16 jours. Lundi 26 juillet 2010. Nous sommes jusqu'au bout l'enfant de notre corps. Un enfant déconcerté. De 13 à 87 ans, âge de sa mort, le narrateur a tenu le journal de son corps. Nous qui nous sentons parfois si seuls dans le notre nous découvrons peu à peu que ce jardin secret est un territoire commun. Tout ce que nous taisions est là, noir sur blanc, et ce qui nous faisait si peur devient souvent matière à rire."

L'esprit du livre esr bien là, je rajouterai juste 2 extraits : 

" Robert qui a mon âge, vit en parfaite amitié avec son corps, c'est tout. Son corps et son esprit ont été élevés ensemble, ils sont bons camarades. Ils n'ont pas besoin de refaire connaissance à chaque surprise. Si le corps de Robert saigne, ça ne le surprend pas. Si le mien saigne, la surprise me fait m'evanouir. Robert sait bien, lui, qu'il est rempli de sang! Robert sait qu'il vit dans un corps"

"Ce matin, plus la moindre énergie. Je l'ai senti dès le lever des paupières. L'influx n'y était plus. Après le "tirer sur la corde", voici la tentation du "lâcher prise". Tout aujourd'hui n'a été qu'un question de volonté, tout a été de l'ordre de la décision. Non pas de ces décisions qui s'enchainent avec naturel le long des journées ordinaires, mais une décision par acte, à chaque acte sa décision son effort particulier, sans lien dynamique avec la précédente, comme si je n'etais plus alimenté par une energie intime et continue mais par un groupe électrogène extérieur à la maison, qu'il faut relancer - à la manivelle!- autant de fois qu'il y a de décisions à prendre"

Il est rare que l'on s'interresse VRAIMENT à son corps, enfin moi en tout ca, jusqu'il n'y pas très longtemps ça ne m'arrivais jamais...

C'est en train de changer et on y reviendra...

7 juin 2012

Le Violon Noir

Il y a quelque temps ma copine Henriette m'avait déjà mis dans les mains un roman de Maxence Fermine, ici

Et comme cela m'a tellement plu, elle a récidivé!

photo 1

photo 2

Douce histoire encore... Belle, fantastique, tragique,...

Et dans tout ça dans les rues de Venise...

Mon Dieu que j'aime cette ville!

photo

Mr Coq, je veux y retourner!!!

Chéri, Emmène moi à Venise...

14 mars 2012

Lecture, saine?

Avoir une ado à la maison, c'est pas simple simple...

Elle sort de notre monde pour construire le sien...

Nous reparlerons de ça très bientôt

Pour ne pas rester sur le bord du chemin, la Poule régulièrement fait quelques raids dans cet univers un peu étrange qu'est l'adolescence de la Poulette...

Étape du moment :

pixlr

"J'ai toujours aimé l'idée que les vêtements s'impregnent de nos émotions et de nos souvenirs, alors pourquoi un jean ne pourrait-il pas incarner une amitié?" Ann Brashares

Tome 1 : Au coeur d'un été inoubliable, une histoire où se mêlent les voix de 4 adolescentes, Carmen, Tibby, Bridget et Lena, amies depuis toujours. de surprises en émotions, de rires en larmes, elles font l'apprentissage de la vie!

Tome 2 : Le deuxième été. Les vacances approchent. Carmen, Tibby, Bridget et Lena s'appretent à ressortir le jean magique, symbole de leur amitié et témoin de leurs aventures. Cette année, l'été s'annonce bien différent... De surprises en émotions, de rires en larmes, les quatre filles vont une nouvelle fois faire l'apprentissage de la vie!

Tome 3 : Le troisième été. C'est l'ultime été avant la grande séparation. Rien ne sera plus comme avant : à la fin des vacances Carmen, Tibby, Bridget et Lena partiront dans des universités différentes. Plus que jamais, elles se raccrochent au jean magique, symbole de leur amitié. De surprise en émotions, de rires en larmes, les quatre filles font une nouvelle fois l'apprentissage de la vie.

Et bien figurez vous que j'attend avec impatience le tome 4! Oh, je sais, il est déjà sorti! mais pas en poche et Poulette n'aime que les livres de poche! (je ne vais pas lui jeter la premiere pierre, Pierre!)

C'est qu'elles sont attachantes ces merdeuses! C'est moins niais que les vampires (ne vous y trompez pas, j'adore les aventures d'edward et de Bella...), mieux écrit... Une très bonne surprise!

C'est bon parfois de se mettre dans la peau de mon ado...

 

 

Publicité
Publicité
20 février 2012

Enfin!

...Un bouquin sympa!

IMG_4218

Il était temps, La Poule commençait à désespérer (ici et ici)

"À la mort de Bertha, ses trois filles et sa petite fille, Iris, la narratrice, se retrouvent dans leur maison de famille, à Bootshaven, dans le nord de l'Allemagne, pour la lecture du testament. À sa grande surprise, Iris hérite de la maison. Bibliothécaire à Fribourg, elle n'envisage pas, dans un premier temps, de la conserver. Mais à mesure qu'elle redécouvre chaque pièce, chaque parcelle du merveilleux jardin, ses souvenirs font resurgir l'histoire émouvante et tragique de trois générations de femmes. Un grand roman sur le souvenir et l'oubli."

Une histoire de famille, j'étais sûre d'aimer!

Et c'était vraiment bien! De la douceur, du tragique, de l'amooour, ... Du surprenant, de la tendresse pour cette grand mère atteinte d'alzheimer (ça aussi, ça m'a parler..)...

Bref, allez y franchement!

Extrait :

"Autrefois, nous nous installions souvent là, Rosemarie, Mira et moi. Quand nous étions encore toutes petites, c'étaient les secrets cachés sous les dalles qui nous attiraient, plus tard se fut le soleil couchant. Cet escalier extérieur était un lieu merveilleux. Il appartenait tout à la fois à la maison et au jardin. Il était pris d'assaut par un rosier grimpant, et quand la porte d'entrée était ouverte, l'odeur des pierres du vestibule se mêlait au parfum de rose. L'escalier n'était ni haut ni bas, ni dedans ni dehors. Il était là pour assurer en douceur mais avec fermeté la transition entre deux monde. Ainsi s'explique sans doute la prédilection  des adolescents pour ce genre d'endroit , leur penchant à s'installer dans des escaliers comme celui-là, à se tenir dans l'entrebaillement des portes, à s'assoir sur des murets, à s'agglutiner à des arrêts de bus, à courir sur les traverses d'une voie ferrée, à regarder du haut d'un pont. Passagers en transit, consignés dans l'entre-deux.

Bertha nous rejoignait parfois dans l'escalier. Elle était tendue, paraissait attendre quelque chose, elle aussi, mais sans avoir précisément qui ou quoi. Cependant, il lui arrivait également d'attendre quelqu'un qui était mort depuis longtemps, notamment son père, plus tard Hinnerk et aussi, l'une ou l'autre fois, sa soeur Anna."

Ce livre a fait parti de la selection 2011 du Prix des Lecteurs, il n'y a pas que moi qui ai aimé :

"Si, entre les pages, on sent les odeurs "de pomme et de vieilles pierres", c'est que dans un style dont la sobriété touche toujours juste, elle sait à merveille donner vie au souvenir. Elvire Emptaz - ELLE."

"Tout sauf anodin, dans une famille allemende, dont la "disposotion à l'oubli" ne dupe personne. Jeanne de Ménibus - FIGARO MADAME"

15 février 2012

Encore!!

Il y quelques semaines, j'etais tombé sur un livre tout pourri pourri... ici

Alors, un peu dépitée la Poule avait demandé à sa Topine K, si elle avait pas un truc BIEN à lire...

Et la K, elle m'a donné ça :

photo

Comment dire... Mouai encore plus que bof...

Annoncé comme un triller : ok allons y

Une histoire qui pouvait le faire:

"Ils sont tous nés le 11 septembre 2001. Il ne leur reste guère plus d'un an à vivre. Ils parlent tous une langue oubliée. Leur sort est lié au Grand Secret. Un secret terrifiant qui remonte à l'aube du monde. Et seul un enfant du premier matin, un enfant du renouveau pourra lever cette malédiction... Seul un enfant du premier matin pourra mettre fin au Grand Secret...

Bon...

"Valentin serait un enfant comme les autres s'il n'etait hanté par de terribles cauchemars. Parfois même, prémonitoires. Depuis la mort de son père, les nuits du petit garçon sont devenues un enfer. Valentin est atteint d'un rare syndrome, qui semble n'affecter que les enfants nés le 11 septembre 2001. Dernière lueur d'espoir pour Lucie, sa mère : une clinique spécialisée américaines. Mais là-bas, dans le Wisconsin, les mystères se succèdent : pourquoi Valentin semble-t-il déjà connaître les autres petits malades? Pourquoi parlent-ils entre eux une langue oubliée de tous?... Avec la disparition des enfants, les pièces d'un effrayant puzzle se mettent en place. Le Grand Secret va-t-il enfin être dévoilé? Valentin serait-il celui qui peut lever, après des millénaires, une antique malédiction?

Hein? Mais de quoi ça parle? La Poule a plongée!

Comment dire... il y avait 2 histoires  en parallèle, dans des espaces temps complètement différents... je voyais pas comment les athéniens allaient s'ateignir... Le rythme ressemblait à un épisode de fin de saison de 24 chrono où si tu cligne des yeux t'es mort t'as perdu le fil... et tout ça, tout ça, pour... Rien! Je dévoile pas la fin mais franchement ça ressemble à un soufflé au fromage super raté!

La Poule n'a pas de dent contre Nicolas d'Estienne d'Orves... il a l'air trés bien ce garçon!

J'ai juste pas aimé son livre...

Surtout que la 4eme de couv' disait :

De la Provence au Vatican, des enchantements de Brocéliande aux énigmes de Nazca, un époustouflant thriller initiatique où l'auteur des Derniers Jours de Paris mêle avec son talent habituel fantastique, occultisme et grands mythes fondateurs de l'humanité. Nicolas d'Estienne d'Orves a 37 ans. Journaliste et écrivain, il est notamment l'auteur des  Derniers jours de Paris et des Orphelins du mal, vendu à plus de 200 000 exemplaires dans le monde.

Ce ceci étant dit, espérons que le prochain bouquin posé sur ma table de nuit, soit mieux!

Ah une dernière chose : Ma Topine K, m'a avoué depuis qu'elle l'avait pas lu, et qu'elle attendait mon avis... pff!

 

6 février 2012

Il récidive!!!

Go, go, go!!!

Journal de création

Jean Paul Renoux

72421735_p

"UNE PAGE BLANCHE

DANS LE LIVRE NOIR

DU CRIME

FEUILLETON

BLOGUÉ"

c'est lui qui le dit!

Allez, zou, on clique!

31 janvier 2012

Cricri!

Meuh non pas Cricri d'amour! d'ailleurs qui se souvient de lui et de ses potes...

Non, Christian BOBIN

C'est kiki?

"Christian Bobin, né le 24 avril 1951 au Creusot en Saône-et-Loire où il demeure, est un écrivain français. Tour à tour poète, moraliste et diariste, il est l'auteur d'une œuvre fragmentaire où la foi chrétienne tient une grande place" comme dit mon copain Wiki

Bref, La Poule ne le connaissais pô

c'est sa copinaute Sarah qui a glissé "La Part Manquante" dans son Swap de Noël

IMG_3921

La 4ème de couv' m'a intrigué : 

"Ce n'est pas pour devenir écrivain qu'on écrit. C'est pour rejoindre en silence cet amour qui manque à tout amour." C.B.

Mon avis?

Ce livre m'a laissé un sentiment étrange...

Une 4eme de couv' qui ne dit pas grand chose...99 pages... pas une de plus...Une succession de nouvelles de quelques pagesUn style vif, imagé...Des phrases très très courtes...Des histoires sans vraiment de début, ni de fin... Des tranches de vie...

Je ne dirai pas que tout m'a plu, mais rien ne m'a déplu...

Ça ne ressemble pas à ce que j'ai l'habitude de lire, mais j'aime quand un livre m'emmene loin de mon confort.

J'ai particuierement aimé "La Baleine aux yeux verts" qui illustre assez bien pour moi l'idée que je me fais de la lecture et que je voudrais transmettre à ma Basse Cour.

Extrait : "Ça commence comme ça, ça commence toujours comme ça? C'est par les livres que ça commence. Les premiers livres, les premières nuits miraculées de lire, les yeux rougis, le coeur battant. La lecture intervient très tard dans la vie : vers les six, sept ans, après la fin de l'éternitel. Avant de savoir lire, on écoute les voix qui épellent le monde, la voix des proches, le murmure de l'eau vive sur les sables du sang. La lecture suscite une absence qui ramène vers cette prime enfance, au bord de cet amour qui à jamais manquera de mots. On est derrière la porte du livre. On écoute une voix si claire que l'on retient son souffle pour bien l'entendre. On écoute la voix calme dans la nuit noir - comme une parole sans phrase dans laquelle un chagrin s'endort peu à peu, d'un sommeil inavouable, bienheureux. On a un âge. On a un nom. On a une vie qui nous attend. Elle n'est pas faite pour vous, elle n'est faite pour personne. Elle vous attend. A huit ans on devine très bien ces choses-là, et qu'il faudra choisir. Choisir Dieu ou le vide, le travail ou le chômage, le désespoir ou l'ennui, choisir. Seulement voilà, on a trouvé autre chose, on a trouvé les livres, avec les livres on ne choisit plus, on reçoit tout. La lecture c'est la vie sans contraire, c'est la vie épargnée. On lit sous les draps, on lit sous le jour, c'est comme une résistance, une lecture de plein vent. À huit ans on aime les îles, les trésors et les forêts. La baleine blanche aussi. (...)"

 Un grand Merci,  Sarah pour ce voyage

Publicité
Publicité
<< < 1 2
Publicité
La vraie vie du Poulailler...
La vraie vie du Poulailler...
Archives
Visiteurs
Depuis la création 151 002
Newsletter
Publicité